“ [...] Nabe écrit, peint, joue de la guitare. Quel cumulard ! Sa mystique sur mesure est encore pleine d'épingles. Gare aux piqûres... Dans ses écrits, il darde âcre sur la sale époque, portraiture le temps et dit l'éternelle petitesse humaine, l'indécrottable loupiote des vanités culturelles, les splendeurs intactes aux marges de la sociale-démagogie stérile. Pourquoi redorer ainsi haineusement, amoureusement, dans ses laborieux pavés, tout l'épais motif humain, en secoureur inattendu ? C'est que Nabe a fait de la chienne d'époque menteuse son argile [... ] “
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